Dr Livesey

DR LIVESEY

(meme mort, je voulais laisser un souvenir de lui a mettre sur sa pierre tombale... en fait je me manque )







Né dans la grande bourgeoisie maritime, j’eu le privilège d’avoir accès aux plus grandes universités de médecine. Père et mère souhaitaient me voir reprendre l’office familiale, mais l’amour et la passion en avait décidé autrement.







Et oui, l’amour… pour moi il était blond, les yeux bleus, un minoi fin et répondait au doux nom de Dame Georgette de La Brise de la Pointe.






Hélas pour moi, cette gueuse avait préféré a mes charmes, certes appartenant plus a la beauté intérieur, mais existants néanmoins, ceux d’un vulgaire pirate mal dégrossit et mal lavé. du moins c'est ce que mes parents avaient voulu me faire croire...


Mais je n’étais pas dupe, et comme le prouvait mes grandes études, mon cerveau était hautement plus développé que la moyenne. Ainsi dans sa lettre de rupture je comprit vite qu’elle avait été en fait enlever par ce galopin de premier ordre et saisissant mon courage a deux mains, et la fortune familiale, je partie sur les mers a la recherche de Georgette.





Apres bien des périples et des découvertes sur le monde des marins et de la piraterie, je retrouvais enfin ma dulcinée. Mais ces quelques années de recherche ne l’avais pas vraiment mise en valeur… découvrant les joies simples du chocolat, du rhum et des friandises exotiques, elle avait triplé de volume… Le soleil avait plus qu’halé son teint de pêche.. et ses amours avec un pirate peu fidèle a ses femmes et a l’hygiène lui assurait que même désespéré je ne la choisisse pas pour assurer ma descendance.


Ainsi je repartie en laissant ma Georgette derrière moi, dans un bordel sordide ou elle avait reconstruit sa vie et trompait sa solitude avec tous les pirate qu’elle aimait tant.


En fait, sur le chemin du retour… je trouvais me deuxième grand amour… une robe clair, un goût a la fois sucré et puissant, un velouté de dame des îles… le rhum. Ce compagnon fidèle sur tous les navires, et donc je pouvais consentir le partage était salvateur.

Quand mon navire fut coulé par celui de pirate, mon impressionnant talent médicale théorique m’assura ma survit a bord de rafiot de forbans.. hélas, une petite erreur de diagnostic m’ayant conduit a amputer la jambe du capitaine au lieu de son bras ( chose d’ailleurs que je fis immédiatement après m’être aperçus de mon erreur, soit après avoir un peu cuvé mon rhum) je fut débarqué de manière fort peu galante sur des terres aux allures peu hospitalières.

Avec seulement une gourdes de rhum j’avais intérêt a trouver vite une taverne…